Suvan OS-Tournez l’horloge | EDKV - France | Ek Duje Ke Vaste 2
Anish a accéléré son vélo à travers les ruelles qui abritait les quartiers de l’armée qui avait l’air si en contraste avec les hauteurs et les bungalows qui dotted le paysage de la ville. Il avait été dans cette section après un certain temps et il a pris un moment pour lui de se rappeler le numéro de porte de Suman, mais il a été en mesure de bientôt le repérer. Il frappa précipitamment à la porte ou plutôt frappa à la porte. Suman a été très surpris car c’était son jour de congé hebdomadaire et c’était juste l’aube, et quelqu’un frappait à sa porte comme si sa vie en dépendait. Elle a tiré son manteau sur son costume de nuit en soie et a ouvert la porte et a été laissé très surpris quand il a vu Anish à la porte. Cela fait au moins 6 mois de plus qu’il ne lui a pas rendu visite, en raison d’un nouveau-né chez lui. Prendre soin d’un petit pour les parents peut être très difficile et Suman savait qu’il était donc très peu probable qu’il aurait laissé son petit dans les petites heures du matin et venir ici à moins et jusqu’à ce qu’il était le signe avant-coureur de quelques mauvaises nouvelles. Mauvaise nouvelle!! Elle pouvait sentir ses pieds se refroidir comme Anish regardait ses yeux chargés de sommeil, une légère prise de conscience de probablement pourquoi il était ici. Il était assez difficile de briser les nouvelles à son meilleur ami et Suman le regarda avec expect expect expect expect expect expect expect expect expect expect expectant comme il mélangeait ses pieds. Enfin, incapable de supporter le silence qu’elle lui a reproché en tenant son col de chemise le suppliant de renverser les haricots quand il avait laissé échapper « Il s’agit de Shravan ». Le nom avait donné le vertige à Suman et comme elle se baladait sur ses pieds et Anish l’a attrapée et a dit: « Pas maintenant Suman, vous devez être fort, vous devez être près de lui. Il y a eu une embuscade sur sa flotte et il y a pas mal de militaires morts et Shravan a été grièvement blessé et aux soins intensifs. Je suis venu ici pour vous emmener à lui ».
Suman n’écoutait plus, car elle était sur le chemin de sa chambre pour changer. Anish a dû attendre moins de cinq minutes avant que Suman ne débarque et que les deux ne partent à vélo. Suman avait toujours apprécié la vue que le campus avait en offrant avec de grands gulmohars en pleine floraison en jouant le chemin dans des motifs de rouge, vert et orange avec bogonvillas alignant les rues ont toujours été un spectacle à voir. Aujourd’hui, tout était différent comme elle maudit le temps s’il était pris pour eux de traverser ce chemin à l’hôpital que les couleurs étaient maintenant juste une touche de noir et blanc pour elle. Elle ne savait pas comment elle s’accrossait au siège de la moto, car ses nerfs semblaient s’échapper et un sentiment de vertige continu l’engloutissait. Enfant, elle détestait les hôpitaux, l’odeur âcre des médicaments mélangés à de l’iode et les divers mélanges de liquides colorés qui étaient décorés sur les étagères de la pharmacie. Avec le temps, elle s’était habituée à ces murs froids ternes de l’hôpital et à l’odeur terrible qu’il dégageait car elle devait venir ici souvent chaque fois que quelqu’un qu’ils avaient connu se rendrait ici. Certains d’entre eux auraient la chance et d’autres ne seraient pas aussi chanceux. Aujourd’hui, elle avait des sentiments similaires de nausées l’attaquer comme elle a pris des mesures lentes derrière Anish comme ils se dirigeaient vers les soins intensifs. Deuxième étage, à droite et la première chambre ICU2 était ce que la réception les avait informés comme ils montaient les escaliers. Monter les escaliers n’avait jamais été aussi difficile avant que chaque pied semblait chargé de fer comme elle a essayé de reprendre son souffle à chaque étape. Anish courut en arrière pour la tenir quand il lui semblait qu’elle était sur le point de s’en aller. Ils ont finalement pu jeter un coup d’œil à partir de la petite vitre de la fenêtre pour jeter un oeil à Shravan avec plusieurs tuyaux allant à l’intérieur et à l’extérieur de son corps. Tout son corps semblait couvert d’une feuille blanche, même ses pieds et ses mains. Le seul réconfort était les bips sur le moniteur signalant qu’il respirait encore. Ils ont dû s’éloigner de la fenêtre pour permettre aux médecins et aux infirmières alors qu’ils bourdonnaient dans et hors portant divers boîtes dans leur main.
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Suman ne pouvait plus se tenir debout alors qu’elle s’enfonçait dans une chaise à proximité, enfouissant sa tête dans ses mains alors que le passé clignotait devant ses yeux. Leurs combats, leur amour, leurs moments, leur carrière, leur ego, leur mal, leur désir. Elle l’avait aimé comme s’il n’y avait pas de lendemain et il avait probablement fait la même chose et elle l’avait détesté avec vengeance et elle espérait que Shravan faisait la même chose encore qu’il était venu à elle et elle lui avait tourné le dos avant qu’il ne parte pour la patrouille comme s’il avait su que cela pourrait peut-être être sa dernière chance de tourner l’horloge vers leur amour. Comment lui disait-elle maintenant que dans l’unité ou à part, dans le feu ou dans la neige, dans la vie ou dans la mort, elle ne pouvait jamais cesser de l’aimer et probablement la même chose était pour lui. Elle l’avait vu dans ses yeux le désir, l’amour de gagner pour elle quand il était venu à sa rencontre deux jours en arrière jetant son ego par la fenêtre l’air brisé et vulnérable, mais elle avait tenu à son ego et tourné le dos. Elle souhaitait ainsi pouvoir tourner l’horloge et courir dans les confins de son bras s’infiltrer dans la chaleur de son étreinte. Maintenant, elle a été laissée froide et dépourvue dans un coin des couloirs de l’hôpital sur une chaise en fer froid. Anish marcha vers le médecin et il l’informa que Shravan avait beaucoup de perte de sang et de fractures multiples de sorte que son va être extrêmement critique pour les prochaines 48 heures avant qu’il ne puisse dire quoi que ce soit. Son pouls était meilleur, mais sa respiration est jusqu’à faible. Il revenons vers Suman, mais elle était nulle part pour être vu.
Suman s’était sentie claustrophobe alors qu’elle était assise dans les couloirs de l’hôpital et il avait été évident quand elle regardait le visage sombre du médecin en parlant à Anish que les choses ne semblaient pas bonnes. Elle s’était enfuie de là, effrayée que sa gorge s’obstrue, ne faisant plus confiance à ses poumons pour prendre l’air. Elle a continué à courir jusqu’à ce qu’elle atteigne les franges extérieures de l’hôpital et marcha jusqu’à l’arbre où Shravan l’avait embrassée la première fois. Elle ne pouvait plus le tenir et laisser libre cours à ses émotions alors que son corps s’accumulait en sanglots alors qu’elle embrassait l’arbre des deux mains désespérément pour sentir les restes de Shravan qu’il aurait pu stocker en lui-même. Elle tenait l’écorce fermement pendant que les larmes cousaient sans inhibition, plongeant sa chemise alors qu’elle s’accrochait à l’écorce frottant son visage et sa tête dessus. Elle ne savait pas depuis combien de temps elle était là à pleurer son cœur quand elle a senti une main sur son épaule. Elle se tourna pour voir Anish la regarder inquiète et elle se jeta sur lui en pleurant à nouveau comme elle l’a dit entre ses sanglots et hoquets « Il était venu Anish, il était venu à moi et j’avais tourné le dos ... dites-moi comment vais-je tourner l’horloge » . Ses ongles ont creusé dans le dos d’Anish comme il a réalisé ce qu’elle traversait. Bien que dans les forces armées, on leur a appris à être courageux, mais à la fin de la journée, ils étaient tous humains et perdre quelqu’un de cher n’était pas facile. Pour Suman , Shravan était sa vie et Anish savait que c’était une vérité irrévocable admet leurs combats et malentendus. Il tapota la tête et le dos de Suman et la frissonna et murmura lentement : « C’est un combattant, ne vous inquiétez pas qu’il ira bien ». Il ne savait pas si c’était pour lui-même ou pour Suman, mais il souhaitait aussi pouvoir tourner la montre et faire en sorte que ses deux amis se sentent un peu mieux. Il leva les regarda vers le ciel et pria ce qu’il faisait rarement, pour que ces âmes gentilles leur donnent une, juste une chance de plus de tout réparer, de tourner l’horloge juste une fois.
